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Sale nuit

15 Juillet 2008 Publié dans #L'actu du Moi !

Couché à 11h; réveillé à 5h06; nuit agitée par des rêves stupides et idiots où régnait surtout une tension certaine, mais tous avec une sorte de fil directeur puisque, dans chacun d'eux, des collègues y apparaissent.

Dans le premier, l'une d'entre elles me cherche noise parce que je n'ai, soi-disant, pas mis d'argent dans les enveloppes prévues pour acheter des cadeaux de fin d'année pour ceux qui partent et ceux qui partent en retraite; ce à quoi je tente vainement de répondre en lui expliquant que ce n'est pas parce que je n'ai pas inscrit mon nom sur lesdites enveloppes que je n'ai rien mis dedans; simplement, tente-je de lui expliquer, je trouve cela offensant, mesquin et à la limite de l'espionnage d'inscrire son nom dessus et de savoir qui a donné ou n'a pas donné pour tel ou untel. Quelle n'est pas sa tête quand je lui explique que, de toute façon, le principe d'enveloppes séparées est déjà choquant en lui-même, parce qu'il établit des distinctions entre les gens et qu'une enveloppe commune serait plus judicieux! Peine perdue !

Dans le deuxième, je me retrouve à la gare à attendre un train, quand je tombe sur deux collègues qui prennent le même; on discute, je monte dans le même wagon qu'elles, qui n'est pas le mien, puis je les quitte à la recherche du mien ... que je ne trouve pas. Je parcours tout le train pour, finalement, me retrouver au wagon-resto-buvette qui se révèle être le dernier du train et être sans issue. Curieux, le fond de ce wagon ne comporte ni porte, ni fenêtre et se termine par une immense plaque de tôle rivetée noir.

Enfin, dans le troisième, toujours dans une gare, je dois prendre le train en compagnie d'une collègue; sauf que sur ordre un procureur de la République du nom de Monsieur Josse (allez savoir pourquoi ?), le train se voit intimer l'ordre de ne pas partir avant qu'i ait rendu un jugement et fait monter le condamné à bord !!!
Là, nous décidons d'aller faire un tour dans la gare, persuadés que si le train part, on nous en avertira par haut-parleur. Or, quand nous revenons sur le quai, quelle n'est pas notre surprise de voir le train partir, et ma collègue faire de grands gestes inutiles pour tenter de le faire arrêter.
Nous nous dirigeons alors vers le kiosque de l'employée de la SNCF (kiosque, qui, je ne sais pourquoi, est aux couleurs de Perrier) où nous nous engueulons avec l'employée qui refuse absolument de nous rembourser nos billets sous prétexte que le train est parti après avoir été annoncé et que nous n'avions qu'à être attentifs !!!

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H
Mmmm, ces histoires de trains-impasses en compagnie de collègues...Freud, sors de ce corps !
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